Les auteurs
Alain Feydri, journaliste rock jusqu’au bout des ongles (Nineteen, Abus Dangeureux, Rock Sound, Rolling Stone, etc.) a écrit plusieurs biographies sur les Cramps, les Kinks, les Flamin’ Groovies et Buddy Holly.
Le Livre
Lancés, au printemps 1966, par un titre venu d’Outre-Atlantique ne leur étant nullement destiné, les Troggs, ont connu, avec « Wild Thing », un triomphe d’une ampleur inimaginable quand, quelques mois plus tôt, ils se produisaient encore au Copper Kettle d’Andover, leur lieu d’origine, sorte de Ploucville perdue dans la campagne anglaise.
Toutefois, c’était sans compter sur l’opiniâtreté de Larry Page, manager récemment enrôlé, qui leur a livré sur un plateau la démo – alors simple squelette – de ce morceau, signé Chip Taylor.
L’intuitif talent des Troggs se chargeant du reste. Primitif et basique. Visant à l’essentiel en sexualisant son contenu jusqu’à en faire un insurpassable sommet de sauvagerie rentrée.
Cet ouvrage revient en détails sur la genèse du groupe, sa lente maturation. Il y a eu, depuis, plus d’une centaine de versions, aucune n’ayant jamais fait mieux. Entre singulière alchimie interne et particularités sociogéographiques, ces quelques lignes tentent d’expliquer pourquoi « Wild Thing », apothéose de garage viscéral, demeure ce classique indémodable de l’âge d’or des glorieuses années soixante.
Toutefois, c’était sans compter sur l’opiniâtreté de Larry Page, manager récemment enrôlé, qui leur a livré sur un plateau la démo – alors simple squelette – de ce morceau, signé Chip Taylor.
L’intuitif talent des Troggs se chargeant du reste. Primitif et basique. Visant à l’essentiel en sexualisant son contenu jusqu’à en faire un insurpassable sommet de sauvagerie rentrée.
Cet ouvrage revient en détails sur la genèse du groupe, sa lente maturation. Il y a eu, depuis, plus d’une centaine de versions, aucune n’ayant jamais fait mieux. Entre singulière alchimie interne et particularités sociogéographiques, ces quelques lignes tentent d’expliquer pourquoi « Wild Thing », apothéose de garage viscéral, demeure ce classique indémodable de l’âge d’or des glorieuses années soixante.